Santé mentale; santé tout court !
Troubles, défaillances, ou déficiences mentales, psychiques, psychologiques, physiques, physiologiques (et autres) marchent-elles parfois ensemble ou bien justement pas toujours, peut-on dire jamais ?
Si La question de La Santé se tient au cœur d’une civilisation de l’humain, puisque l’espèce est toujours sur terre, son pronostic-diagnostic est aujourd’hui bien sûr toujours indispensable à suivre de très très près.
L’évolution de nos environnements de vies, au sens large, est inévitablement responsable, au regard notamment des constats planétaire, visibles, et à travers ce que les médias relaient en continu.
Les remèdes, si on peut dire : remédier en cherchant la santé dans un art de vivre contemporain d’hier et de demain, respectueux, vertueux, et audacieux, en dehors bien sûr de toutes exagération matérielles sales, exubérantes, déplacées, impudiques, usurpatrices, ou encore de mauvais goût.
Notre véritable luxe est le fruit et les graines de toutes les connaissances, les découvertes, les héritages culturelles et scientifiques, les réussites, les erreurs, les accidents et les fléaux que les humains (ou inhumains), que l’humanité porte en elle.. .ces expériences vécus, transmises et qui vivent toujours.
N’est-il pas enfin arrivé le moment de ne pas oublier qu’il existe une nouvelle créativité généreuse de l’humain, exclusivement vouée à la nature sur terre ?
Alors que le drame et le tragique accompagne depuis la nuit des temps l’humanité, ainsi donc que le théâtre, nous chercherions à éclairer, rendre intelligible, beau, magique et poétique tout ce qui peut nous sauver et nous prémunir de tout les pièges cachés ou pas, de nos existences actuelles.
L’ argent ?
Et pour cela, nous avons besoin d’ouvrir les yeux et les oreilles sur de belles utopies, et sur nos plus beaux rêves.
L’humain de demain ?
Une économie du corps et de l’esprit ne pourrait-elle pas s’envisager dans une véritable forme de « libre partage du savoir et de sa mise en pratique ».
Internet ?
Nous pourrions rassembler toute notre expérience, nos acquis, et nos oublis pour un objectif commun de bien-être et d’être bien.
Et lorsque que nous ne pourrions l’atteindre ce bien, faire de tout ce qui nous laisse en souffrance un partage joyeux, par l’expression de la création artistique ?
Un chant, un récit une danse, une fresque et une fête…
Festivals et manifestations artistiques ?
Si la santé n’est pas toujours un « bien en forme », le théâtre aussi, en tant que forme, contenu et message, en souffre, car les deux marchent de concert, chacun d’un côté et de l’autre du miroir.
Si nous prenions davantage le temps d’expérimenter, et d’offrir à la recherche d’une santé bonne, une véritable place dans nos vies, à cet art de vivre…
Mais quel est-il, cet art de vivre ?
Vivre avec art, c’est (re)construire la vie dans sa dimension esthétique, singulière et créative.
Les espace-temps qui encouragent à acquérir une forme de plasticité du corps, de l’émotionnel et du cognitif ont une place à investir dans les lieux d’apprentissage, de formation et d’écoles de vies.
Les forces et les faiblesses sont le moteur d’une dynamique de vie, d’une forme variable de santé vitale, mais également d’une source d’auto- réflexion, d’inspiration et d’expression. Travaillons à vivre avec la météorologie de nos âmes, qui nous en parlent.
Mythes, légendes et vérités ?
Soyons inventif : (ré)inventons notre histoire réelle à venir, représentons-la, qu’elle soit fictive, utopique et idéal ou tragique, afin de lui permettre d’échapper à la peur et de la conjurer. Devons-nous extraire cette peur d’une représentation négative et toxique ?
Rester critique, positif, humoristique, c’est intégrer une forme de contrat de santé collective par la communication, la distance (non pas physique) mais d’observation..
Le théâtre spontané de la vie et de la scène, la marche à pied, l’alimentation saine et délicieuse, l’expression du monde par tous les arts, sont des nouveaux modes d’expression dans notre quotidien, à privilégier, et sur lesquels on doit s’appuyer pour respirer une vie plus heureuse.
Mais tout cela, c’est déjà ce que nous n’avons jamais cesser de faire en réalité, en dépit de la fureur du monde, des guerres de toutes natures.
Mais surtout, pour finir en Santé, sachons apprendre à communiquer, interagir et co-exister avec la « grande IA (Intelligence Artificiel) ! sous peine de risquer de perdre totalement et ses raisons et ses émotions.
Auto-programmation ?
Clément Révérend
Terra Somnia